Projet immobilier rue Jacques Dormont, le PS veut la clarté

Interepellation du PS lors du Conseil communal du 26 mai 2016

 

A l’attention du Collège des Bourgmestres et Echevins

Bruxelles, le 15 mai 2016

 

Monsieur le Bourgmestre,

Mesdames et Messieurs les Echevins,

Mesdames et Messieurs les Conseillers communaux,

Dernièrement, nous apprenions par l’entremise de la presse qu’un projet immobilier à Berchem-Sainte-Agathe, avenue Jacques Dormont, prévoyant 77 unités, dont le maître d’ouvrage est le Fonds du Logement, était recalé car jugé trop dense par les riverains. Un nouveau projet, avec un immeuble de 61 logements avec 61 emplacements de parking en sous-sol est maintenant proposé par le Fonds du Logement. La nouvelle enquête publique devrait démarrer le 27 mai et s’achever le 10 juin. Le prochain comité de Concertation aura lieu le 23 juin.

Il est évident que les inquiétudes et craintes des riverains doivent être entendues, mais il importe aussi que des réponses puissent être fournies pour expliquer l’idée du projet et tenter de le faire accepter, le cas échéant par le biais de quelques modifications.

Pourriez-vous nous tenir au courant de l’état du dossier ?

  • Qu’elle est la position de la majorité vis-à-vis du projet actualisé ?
  • Qu’en est-il des efforts de création de logement public dans notre commune ?
  • Y-a-t-il d’autres projets à venir ?

Le défi du logement dans notre Région est important. Nous connaissons les nombreux freins à la production de logement. Ceux-ci sont de nature juridique, administrative et parfois politique. Porter des projets immobiliers publics n’est pas chose aisée dans certaines localités. Je pense que Berchem-Sainte-Agathe ne fait pas exception, malheureusement. L’accès à du logement de qualité est une des préoccupations les plus importantes des Bruxellois. Dans un effort de maintenir nos concitoyens sur le territoire de la RBC, il est important que les pouvoirs publics unissent leur force et d’avoir un politique ambitieuse en matière de logement. Il est temps que cela se manifeste en actes dans notre commune.

En vous remerciant pour l’attention portée à la présente, je vous prie de recevoir, Monsieur le Bourgmestre, Mesdames et Messieurs les Echevins, l’assurance de mes salutations distinguées.

 

Yonnec Polet,

Chef de groupe

Le PS s’oppose à l’augmentation des tarifs du Hall Omnisport!

Lors du Conseil communal du 24 mars 2016, le PS s’est opposé à l’augmentation des tarifs du Hall Omnisport, parfois de l’ordre de 20%!

Si le PS a soutenu le tarif spécial pour les + 55 ans et associations de seniors, il a aussi dénoncé le fait q’un tarif spécial pour les jeunes et étudiants n’ait pas fait l’objet d’un débat.

 

Les nouveaux tarifs:

Article 1: Paiement de la location

Conformément aux articles 5, 6, 7 et 8 du règlement d’ordre intérieur du complexe

sportif de Berchem-Sainte-Agathe, les locations sont payables à l’avance.

 

Article 2: Tarifs pour les locations ponctuelles

 

  1. Hall Omnisports

 

A.1. Associations

 

Hall Omnisports

Par heure

Sports collectifs

Association berchemoise

reconnue

Association non-reconnue
Par plateau (1/3 de hall) 6,00€  7,50€ 25,00€  30,00€

 

Toute la salle (3/3 de hall) 12,00€   15,00€ 45,00€  55,00€

 

 

A.2. Particuliers

 

Hall Omnisports

TENNIS

Par terrain/heure – Ces tarifs sont également d’application aux terrains extérieurs

berchemois non-berchemois
-18 ans / + 55 ans* 6,00€  7,50€ 12,00€   15,00€
+ 18 ans 12,00€   15,00€ €20,00

 

 

Hall Omnisports

BADMINTON

Par terrain/heure

berchemois non-berchemois
-18 ans / + 55 ans* 6,00€   7,50€ 9,00€  11,00€
+ 18 ans 9,00€  11,00€ 12,00€   15,00€

 

  1. Salles A et B

 

B.1. Associations

 

Salles A/B

Par salle/heure

Association berchemoise

reconnue

Association non-reconnue
-18 ans / + 55 ans* 4,00€  5,00€ 12,00€   15,00€
+ 18 ans 7,00€  8,50€ 21,00€  25,00€

 

 

B.2. Particuliers

 

Salles A/B

Tennis de table

Par salle/heure

berchemois non-berchemois
-18 ans / + 55 ans* 3,00€  4,00€ 4,00€  5,00€
+ 18 ans 4,00€  5,00€ 5,00€  6,00€

 

 

  1. Terrains de football
Par terrain/heure et demie

Avec douches

Association berchemoise

reconnue

Association non-reconnue
Entrainement/match

Jeunesse

Avec responsable club

 

6,00€   7,50€ 25,00€   30,00€
Entrainement/match Adultes

Avec responsable club

 

11,00€   13,50€ 45,00€   55,00€
Demi-terrain sans douches

(si terrain inoccupé)

 

8,00€   10,00€ 16,00€   20,00€
Terrain sans douches

(si terrain inoccupé)

 

12,00€   15,00€ 24,00€   30,00€

 

Article 3: Tarifs pour les locations par saison (abonnements)

  1. Hall Omnisports

A.1. Associations

Les clubs ayant une saison plus courte doivent communiquer leur nombre de mois à l’avance. Les tarifs seront calculés par mois. Un mois commencé est totalement dû.

 

 

 

 

Hall Omnisports

Du 1er septembre au 30 juin

Par terrain/par heure

Sports collectifs

Association berchemoise

reconnue

Association non-reconnue

 

Volleyball/Basketball/Tennis
-18 ans / + 55 ans 110,00€   125,00€ 440,00€   500,00€
+ 18 ans 220,00€   250,00€ 880,00€   1000,00€
Foot en salle (1 semaine sur 2)
-18 ans / + 55 ans* 110,00€   125,00€ 440,00€   500,00€
+ 18 ans 220,00€   250,00€ 880,00€   1000,00€

 

A.2. Particuliers

Hall Omnisports

TENNIS / BADMINTON Ces tarifs sont également d’application aux terrains

extérieurs

Par terrain/heure

berchemois non-berchemois
Du lundi au vendredi de 9h à 17h 155,00€   175,00€ 308,00€   350,00€
Samedi et semaine après 17H 165,00€   185,00€ 330,00€   370,00€
Dimanche entre 14h et 18h 135,00€   150,00€ 270,00€   300,00€
+ 55 ans 180,00€   90,00€ 160,00€   180,00€

 

  1. Salles A et B

 

B.1. Associations

 

Salles A/B

Du 1er septembre au 30 juin

Par terrain / par heure

Association berchemoise

reconnue

Association non-reconnue
-18 ans / + 55 ans* 140,00€  160,00€ 400,00€   450,00€
+ 18 ans 280,00€  320,00€ 800,00€  900,00€

 

  1. Terrains de football
Par terrain/heure et demie

Avec douches

Du 15 août au 15 juin

Football et American football

Association berchemoise

reconnue

Association non-reconnue
-18 ans / + 55 ans 220,00€   250,00€ 800,00€   1000,00€
+ 18 ans 220,00€   250,00€ 1760,00€   2000,00€

 

Article 5: Exonérations

Sont exonérées d’office du paiement du tarif de location:

  1. Les écoles et académies berchemoises.

 

Sont exonérés pour autant qu’ils aient reçu une autorisation préalable de la part du Collège des Bourgmestre et Echevins:

  1. Les associations de troisième âge,
  2. Les mouvements de jeunesse
  3. Les jeunes sportifs de haut niveau.
  4. Les actions humanitaires et sociales.

Projet d’implantation de l’école « Unescoschool sur le site de la Cité Moderne – le PS veut le respect des habitants

Après avoir été informé par plusieurs habitants d’un projet d’implantation temporaire de l’école « Unescoschool – Koninklijke Atheneum Koekelberg » sur le site appartenant à la Cité Moderne, j’ai déposé une interpellation lors du Conseil communal du 26 mai 2015.

J’ai expliqué que ce projet de grande envergure inquiète les habitants pour de multiples raisons légitimes :
– La capacité de l’école qui doit accueillir près de 500 enfants du niveau maternel et primaire.
– L’emplacement de l’école qui sera située sur l’actuel espace vert.
– La très forte proximité de l’école et des bâtiments d’habitation.
– La faible concertation avec les habitants de la Cité moderne.

La majorité en place CDH-CD&V-MR m’a répondu qu’en effet, elle essayait de trouver une solution pour l’école Unescoschool et que le site de Hunderenveld était une possibilité.

Ma réponse fut claire :
– Il faut tenir compte de l’avis des habitants. Ceux-ci se sont déjà exprimés via une pétition signée par 300 personnes s’opposant au projet.
– On ne peut opposer des Berchemois à d’autres Berchemois : entre, d’un côté, les habitants de la Cité moderne et, de l’autre, les parents des enfants berchemois qui fréquentent l’Unescoschool, soit près de 25 % des élèves. Il faut trouver une solution juste, dans l’intérêt des uns et des autres.
– L’Unescoschool ne peut s’installer à Hundenrenveld vu l’opposition des habitants.

Le dossier suit son cours, aucune décision définitive n’est encore prise. Il est encore possible de refuser cette implantation. Je continue à suivre le dossier aux côtés des habitants d’Hunderenveld.

Sortie 12 du Ring: le PS demande la réouverture immédiate!

Motion du Groupe PS  au Conseil communal du 30 avril 2015.

 

A l’attention du Collège des Bourgmestres et Echevins

 

Bruxelles, le 24 avril 2015

Monsieur le Bourgmestre,

Mesdames et Messieurs les Echevins,

Mesdames et Messieurs les Conseillers communaux,

Au début du mois de mars, les Berchemois ont eu la désagréable surprise de constater la fermeture de la sortie 12 du Ring.

Cette décision de la Région Flamande, à titre de test pendant les mois d’avril et de mai, répondrait à un objectif annoncé de réduction du trafic de transit au sein de la commune de Dilbeek. Nous apprenons par ailleurs qu’aucune décision définitive n’est attendue avant 2016.

Il est regrettable que cette démarche ai été entreprise sans concertation préalable avec la commune de Berchem-Sainte-Agathe.

Les services de la commune de Berchem-Sainte-Agathe ont interpellé et demandé des clarifications.

Depuis, les Berchemois subissent dans leur quotidien les conséquences de cette décision unilatérale.

Dès lors, et afin de répondre aux attentes exprimées par nombre de nos habitants, je propose l’adoption d’une motion par le Conseil communal.

 

Motion:

Le Conseil communal de Berchem-Sainte-Agathe regrette la décision de fermeture temporaire de la sortie 12 du Ring sans concertation préalable.

Le Conseil communal de Berchem-Sainte-Agathe tient à porter à la connaissance de la Région flamande les désagréments causés par cette fermeture à de nombreux habitants de la commune.

Le Conseil communal de Berchem-Sainte-Agathe demande qu’à l’issue de cette phase test, et dans les plus brefs délais, la sortie 12 soit à nouveau accessible à la circulation.

En vous remerciant pour l’attention portée à la présente, je vous prie de recevoir, Monsieur le Bourgmestre, Mesdames et Messieurs les Echevins, l’assurance de mes salutations distinguées.

 

Yonnec Polet,

Conseiller communal

Le PS exige de nouvelles pistes pour la création d’une école secondaire

Interpellation du Groupe PS lors du Conseil communal du 26 mars 2015.      

A l’attention du Collège des Bourgmestres et Echevins

 

Bruxelles, le 20 mars 2015

Monsieur le Bourgmestre,

Mesdames et Messieurs les Echevins,

Mesdames et Messieurs les Conseillers communaux,

 

L’essor démographique que connaît notre région a entraîné des besoins en création de places dans l’enseignement fondamental et ce principalement dans les communes du Nord-Ouest de la Région. Plusieurs publications (de l’ADT et de l’IBSA) l’illustrent avec précisions.

Cette augmentation de la population va dans les prochaines années se répercuter au niveau de l’enseignement secondaire. Des moyens ont déjà été dégagés par les Communautés pour y faire face. Via le monitoring de l’offre scolaire, on évalue que 6.249 nouvelles places sont programmées d’ici 2020 dans l’enseignement secondaire. Néanmoins, à ce jour, il n’existe aucun projet dans notre commune ni dans les communes avoisinantes.

Nous le savons, il n’y a pas d’école secondaire à Berchem-Sainte-Agathe. En outre, c’est la seule commune de la Région Bruxelles-Capitale dans ce cas. Dès lors et jusqu’à ce jour, les enfants Berchemois ont bénéficié d’une clause favorable dans le décret inscription les rendant prioritaires par rapport aux enfants des autres communes.

La ministre en charge de l’Enseignement, Madame Milquet, a annoncé son intention de revoir ce décret. Il n’y a malheureusement aucune garantie que la clause « Berchem » soit maintenue dans le nouveau décret.

Ainsi, il est du devoir des autorités Berchemoises de protéger les intérêts de sa population, mais aussi d’anticiper les éventuelles conséquences et d’étudier les scenarios qui s’offrent à elles.

Scénario 1 : une école sur le sol berchemois

L’échevin en charge, Mr Tempelhof, nous avait dit précédemment qu’il n’y avait pas de réserve foncière sur le territoire de la commune.

L’ADT a finalisé en 2013, un cadastre des sites renseignés par les autorités publiques comme potentiellement mobilisables pour l’enseignement (voir le lien http://www.adt-ato.irisnet.be/sites/default/files/documents/Cadastre_ecoles_1_Annexe%201_bilingue_Mars%202013.pdf). A l’époque, il recensait 4 sites potentiellement envisageables.

  • Pourquoi ne pas avoir, à l’époque, recensé la Maison de repos Val des fleurs alors que le projet de déménagement allait bon train avec la construction d’une nouvelle maison de repos ?
  • Qu’en est-il du cadastre des terrains privés ? Est-il prévu d’en réaliser un?

S’il y avait une possibilité, vous avez également argumenté dans le passé que cela serait impayable pour Berchem-Sainte-Agathe. Au-delà de l’ensemble des subsides de fonctionnement et d’infrastructures disponibles, il existe également la possibilité de mutualiser les coûts par des partenariats avec d’autres communes.

  • Avez envisagé des coopérations avec d’autres communes ?

Il est en effet possible que plusieurs communes s’associent pour organiser un établissement scolaire. Ainsi, les communes de Saint-Gilles et de Forest travaillent actuellement à la constitution d’une intercommunale afin d’ériger ensemble une école secondaire. A noter également la participation de plusieurs communes dans la gestion de l’Institut Decroly via une structure de type associative.

Scénario 2 : une école hors du territoire berchemois

S’il n’y a aucune disponibilité foncière dans notre commune, un second scénario est envisageable : que Berchem-Sainte-Agathe s’engage dans un partenariat avec une ou plusieurs communes voisines qui auraient du foncier disponible sur leur territoire.

  • Avez-vous envisagé cette possibilité ? Si non, pourquoi ?

Une révision du décret inscription défavorable à notre commune aurait un impact catastrophique pour nos enfants et leurs familles. La majorité doit prendre ses responsabilités. Gouverner c’est prévoir.

 

 

En vous remerciant pour l’attention portée à la présente, je vous prie de recevoir, Monsieur le Bourgmestre, Mesdames et Messieurs les Echevins, l’assurance de mes salutations distinguées.

 

Yonnec Polet,

Conseiller communal

Mise en œuvre de la garantie jeunes à Berchem-Sainte-Agathe

Voici la motion que le PS de Berchem-Sainte-Agathe à fait adopté en mars 2015 en Conseil communal.

 

Motion du Conseil Communal formalisant l’implication de Berchem-Sainte-Agathe dans la mise en œuvre de la garantie jeunes en Région de Bruxelles Capitale.

Le contexte économique et social de la Région de Bruxelles Capitale est paradoxal.

D’une part, notre Région enregistre un taux de chômage élevé et persistant : 20 % de chômage et même parfois plus de 30 % de chômage chez les jeunes de moins de 25 ans selon les quartiers.

D’autre part, notre Région est un bassin d’emploi important : La Région bruxelloise fournit plus de 15% de l’emploi en Belgique alors qu’un peu moins de 10% de la population du pays y habite. Par ailleurs, plus de la moitié des emplois bruxellois sont occupés par du personnel hautement qualifié.our moins de 10% seulement ont une bonne connaissance de la seconde langue nationale alors que 90% des entreprises recherchent des candidats bilingues.

Ainsi, les jeunes, et particulièrement les jeunes infra-qualifiés, sont les premières victimes du marché de l’emploi bruxellois.

Ce constat est également vrai pour la commune de Berchem-Sainte-Agathe. Dans notre commune, le taux de chômage (pour fin 2014[i]) est de 1.954 chomeurs – 23690 pop et le chômage des jeunes monte à 13,7%.

Il est essentiel de s’attaquer au chômage des jeunes pour faire baisser le taux global de chômage à Bruxelles. Ce combat s’est concrétisé par la mise en place par l’autorité régionale d’une mesure simple concrète mais efficace: à savoir la Garantie pour la jeunesse.

Plus concrètement, en quoi consiste « la Garantie pour la jeunesse » ?

Il s’agit pour la Région de passer « un pacte » avec chaque jeune chercheur d’emploi (de moins de 25 ans) nouvellement inscrit chez Actiris. Ce « pacte » est la garantie de se voir proposer dans les 4 mois de son inscription soit une formation professionnelle qualifiante, soit un stage rémunéré, soit un emploi.

Les enjeux sont clairs, tous les ans ce sont environ 12.000 jeunes bruxellois qui ont besoin de solutions pour construire leur avenir professionnel. La moitié environ trouve sa voie sans les acteurs publics mais l’autre moitié a besoin d’accompagnement.

Pour l’activation de la « Garantie jeune » Actiris et Bruxelles formation jouent un rôle essentiel.

Le Gouvernement bruxellois s’est engagé, dans son accord de majorité 2014-2019, à financer, chaque année, 6.000 mesures pour les jeunes nouvellement inscrits chez Actiris (3.000 formations professionnelles, 2.000 stages et 1.000 emplois).

Il a également annoncer sa volonté de proposer un protocole d’accord à l’ensemble des pouvoirs publics présents à Bruxelles en vue d’organiser une offre de stages pluriannuelle et de premiers emplois à l’égard des jeunes visés par le dispositif.

Pour rappel, le financement de la Garantie pour la Jeunesse est déjà assuré pour les années 2014 et 2015. Il s’agit de 39 millions d’euros, financés à 2/3 par des fonds européens et à 1/3 par des fonds régionaux, communautaires et des Commissions communautaires. Par ailleurs, le Gouvernement bruxellois s’est engagé à pérenniser ces moyens sur la période 2016-2019 que le financement européen se poursuive ou non à la suite de l’évaluation positive du dispositif.

Il est évident que la mise en place d’un tel dispositif de «Garantie jeunes» en faveur de l’intégration durable des jeunes sur le marché de l’emploi requiert un travail en étroite collaboration de l’ensemble des acteurs publics Bruxellois afin d’aboutir à un plan coordonné d’intervention publique.

Les pouvoirs publics se doivent de donner l’exemple et les pouvoirs locaux sont dans ce cadre un extraordinaire levier d’action.

Proposition de motion :

  • Vu le taux encore trop élevé que connait le chômage bruxellois en général et le chômage des jeunes en particulier ;

Vu la volonté du Gouvernement Bruxellois de placer les jeunes Bruxellois au cœur de ses actions ;

  • Considérant que le Gouvernement entend offrir à chaque jeunes de moins de 25 ans nouvellement inscrit chez Actiris soit un emploi, soit une formation qualifiante, soit un stage et cela dans l’année de sortie de leurs études (= Garantie Jeunes) dans le 4 mois de leur inscription comme demandeur d’emploi ;
  • Considérant que pour la mise en œuvre de ce projet, l’objectif du Gouvernement est de proposer, chaque année, 6000 mesures pour les jeunes qui s’inscrivent à Actiris (3000 formations professionnelles, 2000 stages et 1000 emplois) ;
  • Considérant que le financement de la Garantie pour la jeunesse est déjà assuré pour les années 2014-2015 ;
  • Considérant le mécanisme de financement Européen ;
  • Considérant que les pouvoirs locaux sont des employeurs important ;

Le Conseil communal de Berchem-Sainte-Agathe demande au Collège :

  • de prendre des engagements chiffrés en termes d’offre de places de formation, de stages et d’emplois
  • de prendre contact dans les plus bref délais avec le service « garantie jeunes » d’Actiris
  • de prendre également contact dans les plus bref délais avec les services de Bruxelles-Formation (coordination garantie-jeunes)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[i] http://www.actiris.be/Portals/36/Documents/FR/Caract%C3%A9ristiques%20des%20communes%20de%20la%20R%C3%A9gion%20bruxelloise.pdf

Ecole Unesco à Hundenrenveld, le PS défend les habitants

Interpellation du PS lors du Conseil communal du 26 mars 2015.

 

A l’attention du Collège des Bourgmestres et Echevins

 

Bruxelles, le 22 mai 2015

Monsieur le Bourgmestre,

Mesdames et Messieurs les Echevins,

Mesdames et Messieurs les Conseillers communaux,

 

J’ai été récemment informé par des habitants d’Hunderenveld d’un projet d’implantation temporaire de l’école « Koninklijke Atheneum Koekelberg » sur le site appartenant à la Cité Moderne.

Ce projet de grande envergure inquiète les habitants pour de multiples raisons fort légitimes :

  • La capacité de l’école qui devrait accueillir près de 500 enfants du niveau maternel et primaire, si ces chiffres sont confirmés.
  • L’école qui serait située sur l’actuel espace vert, très utilisé tant par les enfants que les adultes de la Cité Moderne.
  • La très forte proximité entre l’école et les bâtiments d’habitation, source de nuisances sonores importantes, particulièrement pour les personnes âgées qui restent sur place la majeure partie de la journée.
  • La faible concertation avec les responsables de la Cité moderne, et plus généralement avec l’ensemble des acteurs du dossier, école K. A. Koekelberg et autorités berchemoises, qui laissent les habitants dans l’expectative.

Je souhaiterai dès lors soulever quelques points :

  1. Quelle a été la position adoptée par le Collège à l’annonce de cette nouvelle et depuis combien de temps étiez-vous informés ?
  2. Tous les permis d’implantation ont-ils déjà été attribués et des études d’incidences ont-elles été menées ?
  3. Considérant les difficultés qu’entraineraient au quotidien l’implantation de cette école à côté d’un ensemble où résident plusieurs centaines de personnes, une autre implantation a-t-elle été envisagée sur le territoire de la commune ?

En vous remerciant pour l’attention portée à la présente, je vous prie de recevoir, Monsieur le Bourgmestre, Mesdames et Messieurs les Echevins, l’assurance de mes salutations distinguées.

Yonnec Polet,

Conseiller communal PS

ypolet@1082berchem.irisnet.be

Garantie Jeunes pour l’emploi: la motion du PS adoptée

Conseil communal du 26 mars 2015

 

Motion Garantie Jeunes

Monsieur le Bourgmestre,

Madame et Messieurs les Echevins,

Je vous prie de trouver ci-joint une motion relative à la mise en œuvre de la Garantie jeunes dans notre commune.

Dans l’attente d’une réponse à cette question, je vous prie de recevoir, Monsieur le Bourgmestre, Madame et Messieurs les Echevins, l’assurance de ma considération distinguée.

Yonnec Polet

Conseiller communal

Motion du Conseil Communal formalisant l’implication de Berchem-Sainte-Agathe dans la mise en œuvre de la garantie jeunes en Région de Bruxelles Capitale.

Le contexte économique et social de la Région de Bruxelles Capitale est paradoxal.

D’une part, notre Région enregistre un taux de chômage élevé et persistant : 20 % de chômage et même parfois plus de 30 % de chômage chez les jeunes de moins de 25 ans selon les quartiers.

D’autre part, notre Région est un bassin d’emploi important : La Région bruxelloise fournit plus de 15% de l’emploi en Belgique alors qu’un peu moins de 10% de la population du pays y habite. Par ailleurs, plus de la moitié des emplois bruxellois sont occupés par du personnel hautement qualifié.

Or le chômage bruxellois se caractérise par des demandeurs d’emploi qui pour 60% d’entre eux n’ont pas le certificat de l’enseignement secondaire supérieur et pour moins de 10% seulement ont une bonne connaissance de la seconde langue nationale alors que 90% des entreprises recherchent des candidats bilingues.

Ainsi, les jeunes, et particulièrement les jeunes infra-qualifiés, sont les premières victimes du marché de l’emploi bruxellois.

Ce constat est également vrai pour la commune de Berchem-Sainte-Agathe. Dans notre commune, le taux de chômage des jeunes monte à 13,7%(pour fin 2014[i]).

Il est essentiel de s’attaquer au chômage des jeunes pour faire baisser le taux global de chômage à Bruxelles. Ce combat s’est concrétisé par la mise en place par l’autorité régionale d’une mesure simple concrète mais efficace: à savoir la Garantie pour la jeunesse.

Plus concrètement, en quoi consiste « la Garantie pour la jeunesse » ?

Il s’agit pour la Région de passer « un pacte » avec chaque jeune chercheur d’emploi (de moins de 25 ans) nouvellement inscrit chez Actiris. Ce « pacte » est la garantie de se voir proposer dans les 4 mois de son inscription soit une formation professionnelle qualifiante, soit un stage rémunéré, soit un emploi.

Les enjeux sont clairs, tous les ans ce sont environ 12.000 jeunes bruxellois qui ont besoin de solutions pour construire leur avenir professionnel. La moitié environ trouve sa voie sans les acteurs publics mais l’autre moitié a besoin d’accompagnement.

Pour l’activation de la « Garantie jeune » Actiris et Bruxelles formation jouent un rôle essentiel.

Le Gouvernement bruxellois s’est engagé, dans son accord de majorité 2014-2019, à financer, chaque année, 6.000 mesures pour les jeunes nouvellement inscrits chez Actiris (3.000 formations professionnelles, 2.000 stages et 1.000 emplois).

Il a également annoncer sa volonté de proposer un protocole d’accord à l’ensemble des pouvoirs publics présents à Bruxelles en vue d’organiser une offre de stages pluriannuelle et de premiers emplois à l’égard des jeunes visés par le dispositif.

Pour rappel, le financement de la Garantie pour la Jeunesse est déjà assuré pour les années 2014 et 2015. Il s’agit de 39 millions d’euros, financés à 2/3 par des fonds européens et à 1/3 par des fonds régionaux, communautaires et des Commissions communautaires. Par ailleurs, le Gouvernement bruxellois s’est engagé à pérenniser ces moyens sur la période 2016-2019 que le financement européen se poursuive ou non à la suite de l’évaluation positive du dispositif.

Il est évident que la mise en place d’un tel dispositif de «Garantie jeunes» en faveur de l’intégration durable des jeunes sur le marché de l’emploi requiert un travail en étroite collaboration de l’ensemble des acteurs publics Bruxellois afin d’aboutir à un plan coordonné d’intervention publique.

Les pouvoirs publics se doivent de donner l’exemple et les pouvoirs locaux sont dans ce cadre un extraordinaire levier d’action.

Proposition de motion :

  • Vu le taux encore trop élevé que connait le chômage bruxellois en général et le chômage des jeunes en particulier ;

Vu la volonté du Gouvernement Bruxellois de placer les jeunes Bruxellois au cœur de ses actions ;

  • Considérant que le Gouvernement entend offrir à chaque jeunes de moins de 25 ans nouvellement inscrit chez Actiris soit un emploi, soit une formation qualifiante, soit un stage et cela dans l’année de sortie de leurs études (= Garantie Jeunes) dans le 4 mois de leur inscription comme demandeur d’emploi ;
  • Considérant que pour la mise en œuvre de ce projet, l’objectif du Gouvernement est de proposer, chaque année, 6000 mesures pour les jeunes qui s’inscrivent à Actiris (3000 formations professionnelles, 2000 stages et 1000 emplois) ;
  • Considérant que le financement de la Garantie pour la jeunesse est déjà assuré pour les années 2014-2015 ;
  • Considérant le mécanisme de financement Européen ;
  • Considérant que les pouvoirs locaux sont des employeurs important ;

 

Le Conseil communal de Berchem-Sainte-Agathe demande au Collège: 

  • de prendre des engagements chiffrés en termes d’offre de places de formation, de stages et d’emplois
  • de prendre contact dans les plus brefs délais avec le service « garantie jeunes » d’Actiris
  • de prendre également contact dans les plus brefs délais avec les services de Bruxelles-Formation (coordination garantie-jeunes)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[i] http://www.actiris.be/Portals/36/Documents/FR/Caract%C3%A9ristiques%20des%20communes%20de%20la%20R%C3%A9gion%20bruxelloise.pdf

Intervention en Conseil communal suite aux attentats de Paris

Nous avons été profondément choqués et blessés par les événements de Paris que nous avons suivi en direct sur les chaines d’information et les réseaux sociaux.

L’assassinat de membres de la rédaction de Charlie Hebdo parce qu’ils symbolisent la liberté d’expression qui nous est si chère, d’agents de police parce qu’ils sont les garants de notre sécurité et de l’État de droit, et de juifs seulement parce qu’ils sont juifs…

Ces actes ignobles, intolérables, nous les condamnons avec la plus grande force et fermeté !

Nos pensées vont avant tout aux victimes et à leurs familles, auxquelles nous rendons hommage et témoignons tout notre soutien.

En assistant à  ce déferlement de violence, j’ai été saisi de stupeur et d’horreur. Cela nous touche tous, au plus profond de nous, quelques soient nos opinions, nos convictions. Dans le pays des droits de l’Homme, c’est la démocratie qui a été frappée en plein cœur. Ce sont nos modes de vie, nos valeurs de liberté d’expression, de pluralisme, de tolérance et de respect de l’État de droit qui étaient visés. Nous nous sommes tous sentis Français et solidaires.

Je tenais à saluer la réaction des citoyens français, mais aussi en Belgique, en Europe et dans le monde. Quel plus bel hommage à nos valeurs démocratiques communes que le calme et la dignité manifestés dans tous ces cortèges. Cette unité vibrante pour la défense de la liberté et du vivre ensemble, ce patrimoine si précieux et fragile à la fois.

Avec la banderole, “Je suis Charlie” à la Place Schweitzer, Berchem-Sainte-Agathe a participé à ce mouvement de solidarité. Je voulais le souligner et vous en remercier.

Après un tel drame, alors que ces terroristes continuent de nous menacer ici et ailleurs, il est primordial de rester unis et solidaires.  Ne pas céder à la peur, ce venin qu’ils tentent d’instiller pour nous diviser et nous opposer, ne rien concéder de nos acquis démocratiques, jamais!

Vient à présent le moment de la réflexion et de l’action.

Réflexion tout d’abord autour de la liberté d’expression. En rappelant que le vivre ensemble dans nos sociétés est garanti par le respect d’un ensemble de droits fondamentaux, dont la liberté d’expression.  Il est de notre devoir de marteler inlassablement et avec force le caractère intangible de ces valeurs, piliers de notre si magnifique modèle de société, patiemment construit au fil des siècles. Charlie Hebdo, c’est une liberté de ton, qui peut ne pas plaire à tout le monde, parfois heurter ou choquer – on se souviendra de cette « Une» lors du décès du Roi Baudouin – mais, « Je suis Charlie » cela signifie que, d’accord ou pas avec une parole ou une idée, la liberté de pouvoir l’exprimer est fondamentale, non négociable, gravée dans notre ADN. La seule ligne rouge, encadrée par un solide arsenal juridique, est celle de l’incitation à la haine, à la violence, au racisme, à la discrimination. Une limite qui n’en est pas une, mais au contraire une garantie du respect dû à chacun, pour s’émanciper, pour pouvoir faire société. Certains, en référence à des fauteurs de haine, qui rappelons-le quand même ont été condamnés par la justice, s’émeuvent d’un deux poids deux mesures. Il y a une différence radicale entre provoquer la haine et provoquer la réflexion.

Réflexion aussi sur l’antisémitisme. Cette plaie ouverte qui doit être l’affaire de tous et pas seulement celle des juifs. La recrudescence d’actes antisémites doit être combattue avec la plus grande fermeté. Il faut être inflexible et sans concession sur le sujet! Je suis inquiet et blessé que nombre de nos concitoyens de confessions juives puissent penser à quitter notre pays, leur pays. Pour paraphraser Manuel Valls: «la Belgique sans les juifs de Belgique ne serait pas la Belgique ». Nous serions amputés d’une part de notre tout.

Réflexion enfin sur la stigmatisation à l’œuvre de nos concitoyens de confession musulmane. Ces paroles ou sous-entendu sur la responsabilité supposée de l’Islam et des musulmans dans ces actes fous sont tout bonnement insupportables.  Dire ou laisser penser cela est un amalgame inacceptable que nous devons combattre sans répit. Rappelons que les premières victimes dans le monde de ces fanatiques sont les musulmans eux-mêmes (en Irak, Syrie, Nigeria, etc.). Ils sont aujourd’hui victime d’une double peine qui constitue un double fardeau : subir l’amalgame et le regard suspicieux pour des actes dont ils ne sont ni responsables, ni solidaires et se voir confisquer leur croyance par des terroristes dont l’inculture religieuse n’a d’égale que le caractère sectaire de leurs organisations.

Préservons-nous de réduire quiconque à une appartenance religieuse au risque de provoquer le morcellement de notre société. Nous sommes avant tout citoyen d’un même pays, égaux en droits et en devoirs, avec des parcours, des cultures et des croyances différentes. Cette diversité est une richesse. Elle a façonné notre société. Et quoi qu’en disent certains, notre vivre ensemble a fait ses preuves. Je n’accepte pas les raccourcis simplistes, les discours réducteurs et caricaturaux sur l’échec de l’intégration, encore récemment relayé sur une grande chaine de télévision belge. Abordons avec lucidité et responsabilité les difficultés existantes sans verser de l’huile sur le feu.

Je voudrais faire une brève parenthèse sur le contexte international. L’enlisement du drame syrien et la paralysie de la communauté internationale ont été habilement instrumentalisés par les mouvements radicaux. L’absence de perspective de paix entre Israël et la Palestine est source de frustrations et est perçue comme l’une des plus grandes injustices de notre temps. L’impact de ces conflits ne peut être ignoré. Y mettre un terme est une urgence.

Les événements de Verviers, et les opérations en cours sur le territoire, nous obligent à agir et à proposer des solutions.

Le premier des devoirs est d’assurer la sécurité de tous les citoyens en démantelant les filières terroristes, les réseaux criminels et d’embrigadement des jeunes. Vivre en sécurité est un droit fondamental. Pour assécher ces filières, il nous faut offrir des perspectives d’avenir aux jeunes de notre pays. En manque d’espoir, sans horizon, ils deviennent des cibles faciles pour les recruteurs de la haine.

Tout ceci nécessite des moyens énormes et un travail de longue haleine.

Avec l’intervention des régions, des communautés, du Fédéral et une coopération au niveau européen et international.

Chacun doit prendre sa juste part à cet effort collectif. Les communes, échelon de proximité par excellence, ont un rôle essentiel à jouer. C’est le premier lieu où s’apprend et s’exerce la citoyenneté.

A Berchem-Sainte-Agathe aussi, notre responsabilité est engagée. Pourquoi ne pas envisager une journée pour sensibiliser au vivre ensemble, à la citoyenneté, à la liberté et la démocratie ? Ce n’est bien sûr qu’un exemple. Je nous invite, M. le Bourgmestre, par delà les positions partisanes, à lancer une réflexion d’envergure sur la batterie de mesure que nous pourrions mettre en œuvre dans notre commune en étroite collaboration avec l’ensemble de la société civile berchemoise.

Ensemble, veillons à préserver notre ouverture à l’autre et à renforcer les liens entre les citoyens aux travers d’actions et de politiques inclusives.

Yonnec Polet

Conseiller communal

Le PS relance la proposition d’organiser un Achat groupé d’énergie par la commune

Interpellation concernant l’achat groupé d’énergie au Conseil communal du 27 novembre 2014

A l’attention du Collège des Bourgmestres et Echevins

Bruxelles, le 21 novembre 2014

Monsieur le Bourgmestre,

Madame et Messieurs les Echevins,

 

Ce Conseil a déjà eu à entendre notre suggestion relative à l’achat groupé d’énergie. Vous le savez, ce l’achat groupé consiste, pour les acheteurs, à se rassembler en un nombre significatif de clients potentiels et de négocier, avec la force du nombre, un meilleur tarif auprès des fournisseurs d’énergie. Il s’adresse aux particuliers, aux indépendants, aux professions libérales et aux petits commerçants.

Cette pratique est doublement positive : elle permet, d’une part, aux consommateurs de réduire leur facture énergétique et, d’autre part, au fournisseur ayant offert la meilleure remise de s’attacher un grand nombre de nouveaux clients en une seule opération.

Il s’agit là d’une réponse particulièrement efficace face à la hausse régulière des prix de l’énergie. Nous le savons, malgré la libéralisation du secteur de l’énergie, la baisse des prix espérée n’a pas été significative : pour les ménages, la mise en concurrence des fournisseurs est restée dans une grande mesure théorique. Ce constat invite d’ailleurs à remettre en cause le modèle de la libre concurrence en la matière, mais ce n’est pas là l’objet de mon intervention.

Mon but est d’attirer à nouveau l’attention sur une pratique citoyenne et éthique, dont les premiers développements à la Ville de Bruxelles sont extrêmement encourageants.

Ma question est simple : la Commune de Berchem-Sainte-Agathe a-t-elle pris des mesures pour encourager de tels achats sur son territoire ? si oui, quelles en ont été les résultats ?

Dans l’attente des réponses à ces questions je vous prie de recevoir, Monsieur le Bourgmestre, Madame et Messieurs les Echevins, l’assurance de mes salutations distinguées.

 

Yonnec Polet,

Conseiller communal

 

 

 

 

 

 

 

 

Yonnec Polet

Conseiller communal